La-La Land Records/2010/42:15
Compositeur qui a imprimé musicalement le style de Tony Scott dans nos mémoires depuis Enemy Of The State, Harry Gregson-Williams entame avec Unstoppable sa septième et ultime collaboration avec le réalisateur pour un résultat en forme de best-of.
En écoute seule, on retrouve dans cet album les sensations vécues au sein le film, à savoir la vitesse, l’urgence et la tension dramatique, toutes vêtues pour l’occasion de leur manteau synthétique. Harry Gregson-Williams n’est pas homme à faire parler l’orchestre ni à faire dans la dentelle, se présentant d’avantage comme un brave technicien capable de créer une œuvre relativement satisfaisante avec très peu de son d’origine orchestrale. C’est donc armé seulement d’un piano, de quelques cordes, d’une guitare électrique et d’un puissant échantillonneur qu’il compose ce qui s’apparente comme une anthologie de ces travaux pour Tony Scott (un comble quand on sait que Unstoppable est son dernier ouvrage). Un peu de Déjà-Vu, de Spy Game mais aussi de Taking Of Pelham 123 dans cette composition qui ne brille pas par son originalité, le compositeur se contentant de réorchestrer ses précédentes créations. Ceux qui connaissent donc sur le bout de leur doigts les travaux d’Harry Gregson-Williams apprécieront ce score échevelé sans toutefois le placer parmi les créations les plus inintéressantes du compositeur. Pour les autres, il sera un bon point de départ pour découvrir le style de son auteur. (3/5)
En écoute seule, on retrouve dans cet album les sensations vécues au sein le film, à savoir la vitesse, l’urgence et la tension dramatique, toutes vêtues pour l’occasion de leur manteau synthétique. Harry Gregson-Williams n’est pas homme à faire parler l’orchestre ni à faire dans la dentelle, se présentant d’avantage comme un brave technicien capable de créer une œuvre relativement satisfaisante avec très peu de son d’origine orchestrale. C’est donc armé seulement d’un piano, de quelques cordes, d’une guitare électrique et d’un puissant échantillonneur qu’il compose ce qui s’apparente comme une anthologie de ces travaux pour Tony Scott (un comble quand on sait que Unstoppable est son dernier ouvrage). Un peu de Déjà-Vu, de Spy Game mais aussi de Taking Of Pelham 123 dans cette composition qui ne brille pas par son originalité, le compositeur se contentant de réorchestrer ses précédentes créations. Ceux qui connaissent donc sur le bout de leur doigts les travaux d’Harry Gregson-Williams apprécieront ce score échevelé sans toutefois le placer parmi les créations les plus inintéressantes du compositeur. Pour les autres, il sera un bon point de départ pour découvrir le style de son auteur. (3/5)
Un score efficace, pas brillant mais souvent fun, qui concentre en effet l'energie et le style des précédentes collaborations avec Scott. :D
RépondreSupprimerVoilà, on prend un certain plaisir à l'écouter même si c'est pas original.
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